Riche de nombreux revécus, la psychanalyse corporelle a pu identifier quatre traumatismes* : le traumatisme primordial de la naissance et trois traumatismes secondaires au cours de la petite enfance, de l’enfance et de l’adolescence respectivement.

La technique sollicite la mémoire du corps. Elle repose sur le principe des lapsus corporels*, ces mouvements conscients mais involontaires capables de réveiller des images et des émotions enfouies dans le subconscient. Traversant différentes couches de mémoire en fonction de la qualité et la profondeur des lapsus corporels, nous accédons en fin de revécu, d'une part à une intime conviction de ce qui s'est passé ne laissant aucune place aux interprétations, d'autre part à la conscience qu’il n’y a dans nos histoires personnelles ni bourreau ni victime, ce qui est source d'une profonde réconciliation avec soi et sa famille.

La pratique de la psychanalyse corporelle est soumise à des règles de déontologie :  Code de déontologie*